Un métier qui bouge

Gaëtan est multitâche. Réapprovisionnement, préparation de commandes, ou encore rangement, il s’acquitte de ses nombreuses fonctions avec une aisance remarquable. Le transport de marchandises dans la sphère logistique exige des certifications. Gaëtan, celui qui ne se sépare jamais de son transpalette, rappelle qu’il est obligatoire d’avoir « une autorisation de conduite délivrée par l’employeur ». Cette dernière est accordée après la validation d’une formation de deux jours, que l’on nomme également CACES autrement dit le Certificat d’Aptitude à la Conduite d’Engins en Sécurité.

Dans le Groupe LORCA, on passe les CACES 1, 3 et 5 : « C’est une formation basée sur la conduite du chariot élévateur, la sécurité et la réglementation ».

En plus d’avoir un sens de la conduite, Gaëtan a développé une sens aigu de l’orientation.
Aliments ou engrais, Gaëtan sait où trouver chaque marchandise.
Si il y a bien quelqu’un qui sait se repérer sur la plateforme LORCA LOG’, c’est bien lui !

Un métier de poids

Le cariste est poids-lourd de la logistique. Sans lui, pas d’acheminement des marchandises au sein de la société. Gaëtan est en interaction permanente avec les principaux acteurs de LORCA LOG’. Il résume bien l’importance de son métier :
« sans nous, c’est un peu plus difficile de faire tourner l’entreprise, il faut savoir qu’il y a un départ, une arrivée et nous on essaie de se situer entre les deux, de la réception à la préparation jusqu’à la vente dans le magasin ».

Quand on demande à Gaëtan, quelles sont les qualités pour être un bon cariste ? Il n’hésite pas longtemps avant de donner la réponse : « il faut de la précision avec le chariot élévateur, connaître la réglementation. Le sens de circulation et la sécurité sont très importants aussi ».

Un métier de contact

Le cariste, ce professionnel de la manutention est au carrefour de plusieurs métiers de la logistique. Et Gaëtan a le sens du contact humain. Celui qui commence toujours sa journée vers 8 heures, en saluant ses collègues, précise : « il y a une bonne ambiance entre nous ».

Après avoir récupéré son matériel, à savoir son scanner, son imprimante et son engin de manutention, il est amené à être régulièrement en contact avec la réception et les préparateurs de commandes. Gaëtan souligne que son métier de cariste est épanouissant et exigeant à la fois.
« La satisfaction de me dire, tiens aujourd’hui, j’ai fait une belle journée. Je suis fier de ce que j’ai pu accomplir. Quand je regarde ma zapette et que je vois que finalement je n’ai plus de palettes à rouler et que tous mes rangements sont faits, pour moi c’est une belle journée ».