Sillonner les routes de Moselle, être au service des adhérents de la coopérative, comprendre les problématiques des différentes exploitations agricoles, telles sont les missions de Christophe, Technicien Relation Culture depuis 2006.

 

 

 

Cultivez la relation avec 120 adhérents

Christophe opère sur le secteur Sarreguemines/Bitche. Ce secteur, il le connaît par cœur. Pour chaque visite dans chaque exploitation, Christophe a toujours le même objectif. Être attentif à chaque situation particulière des adhérents de la coopérative. Il s’applique à connaître et à anticiper les besoins des 120 agriculteurs de sa zone géographique.

Pour lui, un bon technicien relation culture doit « avant tout être à l’écoute des adhérents pour pouvoir répondre à leurs demandes. Il faut être disponible et avoir de bonnes connaissances agronomiques pour répondre à leurs attentes ».
Christophe cultive depuis toujours la proximité avec ses adhérents. Celui qui ne quitte jamais ses bottes, son couteau et ses documents techniques, est autant un conseiller qu’un ami.

 

Un parcours diversifié pour un métier polyvalent

Christophe a suivi une scolarité au sein du lycée agricole de Courcelles-Chaussy avant d’être employé comme magasinier dans une enseigne Point Vert. Par la suite, il est passé Chef de Silo pour ensuite devenir Technico-commercial, emploi qui se nomme désormais Technicien Relation Culture (TRC).

Salarié de LORCA, depuis 15 ans, chaque journée est différente pour Christophe : « Il n’y a pas vraiment de journée type. Une journée qui était prévue au départ, peut être changée à n’importe quel moment, suite à un appel d’un adhérent, pour essayer de lui rendre un service. On est constamment en train de s’adapter ».

Selon lui, la période de l’année la plus dense est certainement la période estivale. Durant la moisson de juillet, Christophe troque sa casquette de Technicien Relation Culture pour celle de Chef de Silo.

 

La culture de l’entreprise

« Je me sens très bien dans le groupe LORCA, sinon je n’y serais plus depuis longtemps ».

Christophe attache beaucoup d’importance aux valeurs de la coopérative :

« Pour moi, c’est quelque chose qui me permet de rester serein pour la suite du métier ».

Christophe résume la philosophie de son métier de technicien relation culture en disant : « la motivation, c’est le retour que l’on peut avoir de la part des adhérents. On en apprend toujours. On a toujours des nouveautés avec les cultures qui évoluent, le climat qui évolue ».